Pharmaciens
Pierre, pharmacien, voudrait ne pas délivrer la « pilule du lendemain » à ses clientes car il est persuadé que cela leur sera préjudiciable. En a-t-il le droit ? Peut-il suivre sa conscience sans risque pour son emploi ?
L'objection de la conscience ? Pour qui ?
La législation française semble de plus en plus restrictive sur ce sujet. Des possibilités demeurent et quelques solutions apparaissent avec la législation européenne. Mais comment les connaître et les utiliser ? Sur notre site, nous vous informons régulièrement des actualités avec des analyses juridiques, philosophiques et même historiques.
Pour répondre aux différentes demandes que nous recevons, nous organisons un week-end de formation ouvert à tous qui aura lieu à Paris les 14 et 15 décembre prochains. Des experts de différentes professions ont déjà répondu présents pour intervenir. Cependant, si les demandes sont nombreuses, nos moyens sont aujourd’hui limités.
Voulez-vous soutenir notre travail ?
Cette rencontre sera une étape importante pour notre travail de résistance contre l'oppression de la conscience. Merci d'avance pour l'aide que vous nous apporterez.
Philippe Cappello
président de l’association
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Joël Hautebert,
secrétaire de l'association
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